Ciné-concert

Ciné-concert sur archives locales

Ciné-concert d’après des archives locales —du Trégor entre les années 1930 et 60 — avec des musiques du 16e au 21e siècle.

Bach, Stravinsky, Campos, Kuusisto, tangos

Crée au Café Théodore à Trédrez-Locquémeau en février 2025. Coproduction : 20 000 docs sur la terre et La Cinémathèque de Bretagne.


Un concert du soir allongé

Carnet d’insomnie

Il y a parfois la nuit des moments d’exaltation, de fantasmagorie et d’affleurement de l’inconscient qui appellent certaines musiques : obsession des minimalistes, sensualité des contrepoints de la Renaissance ou de certaines voix baroques.

Bach, Schumann, Pärt, Glass

Les trois musiciennes invitent les auditeurs-rêveurs à un moment de solitude partagée allongé dans le noir.

Crée aux Ateliers des Capucins à Brest en janvier 2025.


Deux concerts de 45mn à mettre en regard l’été

Retour de plage

Vous ne savez pas comment sortir du dilemme vanille ou chocolat ? Vous hésitez entre romantisme et une ambiance « châteaux de la Loire », entre recueillement sous les sapins en Finlande et orientalisme, entre nouvelle vague bretonne et tango ?

Dans ce concert joyeusement décousu tout est possible ! Fauré, Hugo, Piazzolla, Schumann, Sermisy vous attendent à l’ombre des vieilles pierres, sous un bosquet ou près du bac de glace.

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vagues nouvelles

Que ressentez-vous en regardant au fond d’une flaque entre les rochers quand la mer s’est retirée ? Ou sous l’eau en regardant le ballet des poulpes et des méduses ? Peut-être avez-vous levé le nez pour regarder la voie lactée et son hypnotique harmonie ?

Clara Schumann et ses fugues inspirées de Bach, Philip Glass et ses Metamorphosis ou le tintinabulisme d’Arvo Pärt seraient-ils des reflets de ces paysages ou d’autres immensités intérieures ?


Concert d’une heure à écouter assis (si on veut)

Trois musiciennes se retrouvent au son envoutant du bandonéon pour tisser un fil inattendu entre des répertoires éloignés de plusieurs siècles, et qui semblent pourtant s’observer avec des regards familiers. Ainsi, la Nuit d’été s’ouvre avec les variations Goldberg de Bach, emprunte une mélodie enivrante à Berlioz, un poème de printemps à Fauré, avant de poser les pieds en Argentine. Le  bandonéon se transforme à l’envie en clavecin, piano ou orchestre symphonique pour camper tout à tour l’ambiance du salon des Bach, du Paris romantique ou des cafés de Buenos Aires.

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